La maison de la Reine (Photo Wikipédia)
Le boudoir fut à l'origine surnommé « petite maison de la Reine ». Ses dimensions sont modestes, de 4,60 m par 5,20 m ; c'est d'ailleurs la plus petite construction du hameau, de construction fort simple en meulière apparente. Marie-Antoinette s'y retirait seule ou avec un ou deux de ses proches, dans le salon carré qui compose l'essentiel du lieu, au coin du feu d'une cheminée de marbre blanc statuaire décorée de brindilles de lierre. Les murs alternent miroirs enchâssés et tentures d'étoffe ou de tapisserie, qui participent à l'intimité du lieu. Les boiseries étaient initialement de chêne de Hollande de couleur acajou, mais elles ont été remplacées lors du Second Empire. Les vitres sont en verre de Bohème. Son toit est recouvert de roseaux et non de chaume. Cette chaumière tapissée de vigne vierge est précédée d'un petit jardin géométrique, plutôt constitué de plates-bandes que de cultures et entouré de fourrés. Le petit cours d'eau qui longe le boudoir marque la séparation des maisonnettes à l'usage de la Reine.(Wikipédia)
La maison de la Reine est située au centre du hameau. Son allure pittoresque est renforcée par l'originalité de sa structure : un double corps de bâtiments non alignés et simplement reliés par une passerelle couverte, une tour ronde, des escaliers extérieurs soutenus par des poteaux de bois et des toitures d'inclinaisons diverses. Elle est la seule, avec la laiterie de propreté, à être couverte de tuiles. Sa décoration est simple mais élégante, éloignée du luxe flamboyant du château. Composée de deux étages, elle comprend au niveau supérieur une antichambre en forme de « cabinet chinois », le petit salon, dit aussi « salle des nobles », et le grand salon aux lambris tendus de tapisseries de style suisse brodées en laine et vannerie. Des six croisées de la pièce, la reine peut aisément contrôler les travaux des champs et l'activité du hameau. Au centre de la pièce est installé un clavecin sur lequel Marie-Antoinette aime à jouer. L'accès à l'étage se fait soit par un ample escalier intérieur, soit par celui de la tour ronde, s'arrêtant à mi-hauteur et suivi d'une passerelle puis d'une volée de dix marches atteignant la galerie extérieure. Au rez-de-chaussée, le bâtiment comprend un salon de trictrac décoré d'un parquet en échiquier et une salle à manger à simple dallage de pierre blanche, les coins abattus faisant place à de petits carrés noirs. Les chaises, au dossier-lyre en acajou massif et garnies de maroquin vert, ont été créées par Georges Jacob.(Wikipédia)
Le moulin
Le moulin est l'une des chaumières les plus pittoresques, avec un charme pictural qui rappelle le rôle du peintre Hubert Robert dans la création du hameau. Les quatre façades de l'édifice ont chacune un aspect et un décor différents bien qu'en harmonie. La roue mue par le ruisseau dérivé du Grand lac n'est qu'un élément de décor et aucun mécanisme ni aucune meule ne furent installés dans cette fabrique. En effet, contrairement à ce que l'on avance souvent, le moulin n'a jamais servi à moudre le grain : le courant est si lent que même la roue initiale en chêne, pourtant simplement décorative, tourne avec une telle difficulté qu'il a fallu la changer pour une de taille plus réduite.
La salle du rez-de-chaussée semble avoir servi un temps de galerie d'exposition pour les premières maquettes du hameau. À ce salon est accolé un petit cabinet, servant de garde-robe. Un petit couloir donne accès à une porte d'entrée latérale. La pièce carrée du premier étage, de quatre mètres de côté, tient lieu de petite salle à manger ou de chambre, dont on ignore si elle servit jamais. On y accède par un escalier extérieur complexe de deux volées de marches. Sur l'avant, un cabinet en colombages est construit en excroissance au-dessus du ruisseau et est relié à la pièce du premier étage par une passerelle permettant un accès en contrebas.
L'intérieur du bâtiment a reçu une décoration sobre mais soignée. Un carrelage est posé dans toutes les pièces et les deux pièces principales comportent chacune une cheminée du marbrier Le Prince. Une corniche moulurée et des lambris peints en faux bois d'acajou complètent le décor. Le moulin dispose au sud d'un petit jardinet clos par une haie de charmilles et d'une pergola. Un lavoir lui est aussi accolé, au bord du ruisseau.(Wikipédia)
Cygne au milieu des poissons...Des carpes.
Trop de visiteurs et de soleil. Cherchons un peu d'ombre.
On repart.
Et toujours ses arbres magnifiques, plusieurs fois centenaires pour certains...
La ferme du hameau que nous n'avons pas été voir. Une prochaine visite.
Bisous à tous
Bonjour, c'est vrai que l'endroit est joli, j'ai visité ce hameau il y a bien longtemps et tes photos rappelent de bons souvenirs, merci de cela, bonne journée...
RépondreSupprimerBonjour, Claudine! Merci de partager vos photos magnifiques!
RépondreSupprimerEnjoy your day :)
un endroit très joli que nous n'avons aps pu visiter car c'était fermé le 1er mai...
RépondreSupprimerbonne journée
Merci beaucoup de ce superbe reportage. Je suis allée là-bas il y a des siècles, au moins ...
RépondreSupprimerDe très belles photos. Rigolo ce cygne sur les poissons !!
Gros bisous et à bientôt
jolie ballade versaillaise
RépondreSupprimerbonsoir..
RépondreSupprimermagnifique visite et bien pour les commentaires..
les photos sont superbes...
bonne soirée
bises
Très joli tout ça ! ça donne envie d'aller y faire un saut ! On va attendre un beau soleil comme sur les photos ! Biz
RépondreSupprimerThis iss a great blog
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